lundi 14 décembre 2015

[Lucas] Pastiche du poème "A une passante", de Charles Baudelaire

A toi, passante

Le ciel silencieux au fond de moi plongeait.

Soudain, devant mes yeux, l’ombre mystérieuse
D’un inconnu surgit. Sa forme harmonieuse
Ravive en mon esprit un souvenir que j’ai.

C’est bien elle! Quel bonheur ! Mon amour, ma grande maîtresse
Va s’élancer vers moi... Mais son trop long silence
Résonne comme un glas.Terrible indifférence...
La seule chose qui lui manque ? De la tendresse.

(Par Lucas Carvalho Santiago)

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