L’éclairage au-dessus de ma tête oscilait
Fatigué, petit, en grand douleur et confus
Ratatiné sur le trottoir, l’âme inquiet ;
Je dormais. Un homme passa, beau et barbu ;
Avec des longs pas, surs, ses jambes de cheval
L’emmenant vers l’autre bout du sale pavé,
Il s’éloigna de moi, hélas ! Les yeux levés,
Je voyait encore son aura d’animal.
Un galop... puis le silence ! Feu fugitif
Dont la vigueur m’a fait tout à coup éveillé
Ne te verrai-je plus, fini ce cas fruitif ?
Nulle part ! Trop tard ! Ici je suis exilé
Pour toujours, loin de ton éclat impétueux.
Car le Temps nous a nié même un triste adieu !
Fatigué, petit, en grand douleur et confus
Ratatiné sur le trottoir, l’âme inquiet ;
Je dormais. Un homme passa, beau et barbu ;
Avec des longs pas, surs, ses jambes de cheval
L’emmenant vers l’autre bout du sale pavé,
Il s’éloigna de moi, hélas ! Les yeux levés,
Je voyait encore son aura d’animal.
Un galop... puis le silence ! Feu fugitif
Dont la vigueur m’a fait tout à coup éveillé
Ne te verrai-je plus, fini ce cas fruitif ?
Nulle part ! Trop tard ! Ici je suis exilé
Pour toujours, loin de ton éclat impétueux.
Car le Temps nous a nié même un triste adieu !
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