lundi 14 décembre 2015

[Antônio] La vie et l’œuvre de stephane mallarme

Stéphane Mallarmé est né le 18 mars 1842 et sa mère est morte quand il avait cinq ans. Il a été élevé par ses grands-parents maternels et mis en pension à l’âge de 8 ans. Il avait une soeur qui était deux ans plus jeune et qui est morte quand il avait 15 ans. Cela a été le deuxième deuil de sa vie, après la mort de sa mère.

Son intérêt pour la poésie a probablement été déclenché par cet événement marquant. Il a été influencé initialement par Baudelaire et Edgard Poe, qu’il considérait comme ses initiateurs. Il a commencé à écrire à l’époque du lycée et sa première publication a eu lieu en 1862. Il s’est marié très jeune, à 21 ans, avec Maria Gerhard.

Ensuite il est allé en Angleterre pour perfectionner sa connaissance de l’anglais, qu’il avait commencé à étudier avant pour lire l’oeuvre d’ Edgard Poe. Il rentre en France en 1863 et travaille comme professeur d’anglais, malgré son aversion à ce métier. Il continue cette vie jusqu’en 1870, quand il déménage à Paris et cherche un travaille de bibliothécaire. Cependant, il est nommé professeur dans un lycée. Il a eu une fille et un fils, en 1864 et 1871, respectivement.

En 1873 il rencontre Manet avec qui il se lie d’amitié. À ce moment-là il prend part à la vie littéraire de la capitale. Entre 1874 et 1880, il développe des activités additionnelles pour gagner un peu plus d’argent. Son fils meurt en 1879 et cela déclenche une nouvelle dépression. En 1884 il connait la notoriété comme écrivain avec l’aide de Verlaine et de Huysmans. En 1885 il publie le poème « Prose pour des Esseintes » et en 1887 une édition de ses « Poésies », d’ailleurs il continue à traduire les oeuvres américaines,.

Il continue à enseigner jusqu’en 1893 quand il part à la retraite à cause de sa santé médiocre. Il est mort en 1898, aprés être resté dans une maison sur les bords de Seine pendant environ cinq ans. Il a publié le poème « Un coup de dés jamais n’abolira le hasard » en 1897. Avant de mourir il a redigé un testament considéré pathétique. Il n’a pas eu le temps de conclure son oeuvre.
(par Antônio Artur de Souza)

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