Son intérêt pour la poésie a probablement été déclenché par
cet événement marquant. Il a été influencé initialement par Baudelaire et
Edgard Poe, qu’il considérait comme ses initiateurs. Il a commencé à écrire à
l’époque du lycée et sa première publication a eu lieu en 1862. Il s’est marié
très jeune, à 21 ans, avec Maria Gerhard.
Ensuite il est allé en Angleterre pour perfectionner sa
connaissance de l’anglais, qu’il avait commencé à étudier avant pour lire
l’oeuvre d’ Edgard Poe. Il rentre en France en 1863 et travaille comme
professeur d’anglais, malgré son aversion à ce métier. Il continue cette vie jusqu’en 1870, quand il déménage à
Paris et cherche un travaille de bibliothécaire. Cependant, il est nommé
professeur dans un lycée. Il a eu une fille et un fils, en 1864 et 1871,
respectivement.
En 1873 il rencontre Manet avec qui il se lie d’amitié. À ce
moment-là il prend part à la vie littéraire de la capitale. Entre 1874 et 1880,
il développe des activités additionnelles pour gagner un peu plus d’argent. Son
fils meurt en 1879 et cela déclenche une nouvelle dépression. En 1884 il connait la notoriété comme écrivain avec l’aide
de Verlaine et de Huysmans. En 1885 il publie le poème « Prose pour des
Esseintes » et en 1887 une édition de ses « Poésies », d’ailleurs il continue à
traduire les oeuvres américaines,.
Il continue à enseigner jusqu’en 1893 quand il part à la
retraite à cause de sa santé médiocre. Il est mort en 1898, aprés être resté
dans une maison sur les bords de Seine pendant environ cinq ans. Il a publié le poème « Un coup de dés jamais n’abolira le
hasard » en 1897. Avant de mourir il a redigé un testament considéré
pathétique. Il n’a pas eu le temps de conclure son oeuvre.
(par Antônio Artur de Souza)
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